Remise du premier rapport annuel d’activité

Remise du premier rapport annuel du Comité Monégasque Antidopage

Après sa transformation à compter du 1er janvier 2015 en un organisme de droit privé investi d’une mission d’intérêt général, le Comité Monégasque Antidopage a remis le 16 juin 2016 à M. Patrice Cellario, représentant S.E. M. Serge Telle, Ministre d’Etat, son rapport annuel d’activité.

Pour un sport intègre

S’inscrivant dans le sillage voulu par S.A.S le Prince Souverain d’un sport propre, juste, équitable et intègre, le président du Comité, M. Philippe Orengo, a souligné les points saillants de ce document complet de 85 pages, rappelant en outre les trois priorités de l’action de cette structure : l’information et la prévention ; la recherche, l’établissement et la sanction des faits de dopage, et la mise en œuvre des engagement internationaux de la Principauté en matière de lutte contre le dopage.

M. le Conseiller de gouvernement -ministre de l’Intérieur a pour sa part souligné l’engagement déjà ancien de la Principauté dans la lutte contre le dopage, marqué le soutien apporté au Comité dans le respect de son indépendance opérationnelle et réaffirmé la détermination de l’Etat à jouer pleinement son rôle de régulateur pour lutter contre ce fléau complexe, qui sera pris en compte dans le cadre de la future loi sur le sport.

De nombreux motifs de satisfaction

Remise du rapport d'activité du CMA à M. Patrice Cellario, Conseiller de gouvernement – ministre de l'Intérieur (au centre). De gauche à droite : Dr Jack Michel (membre), M. Philippe Orengo (Président), S.E. Yvette Lambin-Berti (membre), Mme Andréa Alessio (Secrétaire Permanente), Mme Sylvaine Arfinengo (membre), Dr Yves Jacomet (membre), M. Damien Desprat (membre).

Engagés dans une œuvre collective, le Gouvernement princier et le Comité ont pu partager des motifs de satisfaction qui tranchent avec l’actualité : en particulier, la réussite de la politique de dissuasion puisque malgré leur multiplication, les contrôles des athlètes de haut niveau n’ont pas donné matière à l’engagement de procédures disciplinaires ; le constat par l’Agence Mondiale Antidopage de la conformité de la politique monégasque avec les principes et les règles du Code Mondial Antidopage ; le respect des engagements internationaux souscrits par la Principauté dans le cadre des conventions de l’UNESCO et du Conseil de l’Europe en matière de lutte contre le dopage.

Le partenariat entre l’Etat et le Comité dont le caractère exemplaire a été souligné ne peut qu’inciter tous les acteurs du sport en Principauté à poursuivre leurs efforts en ce sens pour que dans ce domaine aussi, Monaco soit une place à part dans le monde.

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