Ayant parcouru quelque 543,125 km, le Comité Monégasque Antidopage est fier de s’être associé à la No Finish Line organisé par Children&Future
Pour la seconde fois, le Comité Monégasque Antidopage a participé cette année à la No Finish Line.
Prévue du samedi 16 novembre à 14 heures au dimanche 24 novembre 2019 à 14 heures, la 20ème édition de la No Finish Line s’est déroulée dans des conditions atmosphériques difficiles et a d’ailleurs dû être interrompue après 171 heures de course le samedi 23 novembre en raison des fortes intempéries, après qu’une participante ait été victime d’une vague submergeant la Digue de Fontvieille.
Le CMA tient tout d’abord à présenter à la victime ses souhaits de bon rétablissement et à l’assurer de sa compassion.
Si le vingtième anniversaire de cette manifestation solidaire n’a pas été la fête que nous espérions tous, elle a malgré tout permis de reverser une somme de 351 151 euros au soutien de projets en faveur des enfants défavorisés ou malades, l’association Children and Future ayant décidé de reverser 1,20€ du km au lieu de l’euro traditionnel.
Le Comité Monégasque Antidopage bénéficiant de la participation de 20 coureurs au total qui ont en moyenne parcouru 21,491 km n’a pas démérité en terminant 130ème sur 347 participants.
Même si ce résultat assez proche de celui de l’année 2018 (19 coureurs avec une moyenne individuelle de 28,586 km) demeure assez loin de ce qu’il entendait faire, il est honorable compte tenu du fait qu’en réalité seules 18 personnes ont pu y participer pleinement, le Président et la secrétaire permanente n’ayant pu y prendre part qu’une seule soirée en raison de divers engagements les rendant indisponibles pour les autres journées de course.
C’est donc essentiellement grâce à son chargé de mission, M. Bottin, et à 17 de ses collaborateurs occasionnels ou bénévoles que le Comité a pu sauver l’honneur.
Il renouvellera son engagement pour la prochaine édition et tentera d’être aussi endurant que ne le fut Hercule, personnage clé de son logo, au cours de l’un de ses douze travaux lorsqu’il poursuivit le sanglier d’Erymanthe.
